F.U.C.K club
Je n’ai jamais fait partie d’un club.
Non par refus catégorique, je dois même vous avouer que j’aurai a-do-ré faire partie du club de Barbie pour recevoir les bracelets en éponge pour le tennis (j’en faisais pas, hein, mais je trouvais ça génial!). Ma sœur avait le bandeau et je peux vous dire qu’il cartonnait!
Je n'ai jamais vraiment fait de sport non plus et n'ai donc pas eu accès à ce genre de clubs... sans que ce soit pour autant un réel regret.
J'aurai pu rejoindre d'autres clubs : le club d'amateurs des fromages de Savoie, le club "Offishal" des fans d'Ophélie Winter, le club liégeois des canaris de couleurs, le Culture Club, le club de la boule bronzée, le club Dorothée (et j'aurai eu mon nom au générique le jour de mon anniversaire, la classe), le cobaye's club, le pipe club d'Alsace et j'en passe.
Toujours est-il que je n’ai jamais fait partie d’un club. Enfin jusqu’à cette année. II aura fallu attendre 40 ans pour passer du côté obscur. En même temps, comment résister à un F.U.C.K club?
Attention, il n'y a aucune grossièreté dans l’intitulé! Aucune rébellion non plus! Simple hasard des abréviations, évidemment. Il s'agit de la Fédération Universelle des Créatives Kamikazes (tu vois, aucun gros mot en perspective).
C’est Stéphanie, the amazing iron woman, qui a monté ce club... je ne la vois pas du tout sombrer dans l’abréviation douteuse. Pas son genre!
Bref je partage avec vous les règles du dit club (on est à deux doigts du club de dames entre travaux d’aiguille et discussions courtoises)
PS : je viens de me rappeler avoir fait partie du club Dial... Vive les années 90!